ARCHIVÉE - 2. La dualité linguistique dans des programmes et des initatives clés
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Dans le deuxième chapitre de l’étude publiée en 2004 intitulée Une fenêtre sur le monde : La dualité linguistique dans les relations internationales du Canada (pages 8 à 29), le Commissariat abordait la question de la dualité linguistique dans trois grandes stratégies culturelles (le Programme de diplomatie ouverte, les programmes d’études canadiennes et la promotion de la diversité culturelle à l’échelle internationale).
On traitait également dans ce chapitre de la place de la diversité linguistique dans les missions commerciales canadiennes et dans la participation du Canada à la Francophonie, à l’Organisation des États américains (OEA) et à la Coopération économique de la zone Asie-Pacifique (APEC).
Cette partie de l’étude contenait 14 recommandations, si l’on compte deux fois celles qui sont divisées en deux parties.
2.1 Le Programme de diplomatie ouverte
Étude de 2004
- Le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) s’est doté du Programme de diplomatie ouverte (PDO) dont l’un des principaux objectifs est de « faire rayonner l’identité et les valeurs canadiennes à l’étranger ».
- Selon le MAECI, la notion d’identité canadienne dans ce programme recouvre « la diversité, les valeurs et l’excellence » qui sont promues par les arts, les relations universitaires et les échanges.
- Au sein du MAECI, le PDO est largement considéré comme une source de financement capital des projets ayant trait à la dualité linguistique.
- Le fonctionnement du Programme est axé sur les partenariats. Le PDO apporte un complément à divers programmes fédéraux qui n’ont pas tous la même vision de la dualité. Cela soulève la question de l’intégration de la dualité linguistique dans les programmes du gouvernement fédéral.
- Le Canada se doit d’avoir une politique internationale qui fasse une place adéquate à la dualité linguistique dans l’élaboration des programmes.
État du suivi
Recommandation 1 (étude de 2004)
Que le ministère des Affaires étrangères veille à ce que la prochaine vérification du Programme de diplomatie ouverte comporte une évaluation exhaustive de sa contribution à la dualité linguistique dans les relations internationales du Canada.
Mesures prises par le Ministère depuis 2004
Le MAECI a réalisé une évaluation du PDO qu’il a rendue publique en juillet 2005 sous le titre Évaluation du Programme de diplomatie ouverte d’Affaires étrangères Canada.
Cette évaluation rappelle que le rapport Le Canada dans le monde, publié en 1995, proposait une politique étrangère fondée sur trois piliers. L’un d’entre eux était la projection des valeurs et de la culture canadiennes. Ce pilier a justifié la mise en oeuvre de plusieurs programmes faisant partie du secteur de la diplomatie ouverte. Le PDO a été créé en 1998.
L’évaluation révèle que le PDO a financé un certain nombre de programmes existants dans les domaines des arts et de la culture, des relations universitaires, des communications et des institutions de la Francophonie, et qu’il a favorisé la création d’un nouveau programme visant à susciter la participation des Canadiens, en particulier des jeunes Québécois à cette époque, dans le domaine des affaires internationales.
Entre 1998 et 2004, le PDO a financé un total de 500 projets, dont la plupart faisaient appel à la participation d’intervenants des universités, des organisations non gouvernementales et des organismes culturels. Selon l’évaluation, « la plupart des projets ont aussi réussi à renseigner davantage les participants des projets sur la diversité culturelle, linguistique et régionale du Canada ». Par exemple, environ 72 % des répondants à une enquête s’entendaient pour dire que les participants aux projets ont amélioré leur compréhension du caractère bilingue et multiculturel du Canada. L’évaluation souligne que « le PDO a contribué à rehausser la visibilité des communautés de langue officielle en situation minoritaire du Canada, et a fourni à AEC un des principaux mécanismes pour s’acquitter des obligations en vertu de la Loi sur les langues officielles. Le PDO a aussi financé la promotion à l’échelle internationale du programme canadien de la Francophonie [...] »
L’une des cinq recommandations formulées lors de l’évaluation propose que le PDO « devrait permettre de poursuivre les projets qui ont du succès, comme les simulations de l’ONU, et fournir à AEC des moyens de s’acquitter de ses obligations légales en vertu de la Loi sur les langues officielles ».
Dans sa réponse à l’ébauche du suivi d’étude, le Ministère confirme que l’évaluation du PDO n’avait pas pour but d’examiner la contribution globale du PDO à la dualité linguistique dans les relations internationales du Canada. Son objectif était de vérifier l’efficacité et la pertinence du PDO. Cependant, selon le Ministère, l’évaluation a permis de déterminer dans quelle mesure le PDO contribue à accroître la visibilité des communautés de langue officielle en situation minoritaire du Canada.
En ce qui a trait aux compressions budgétaires effectuées en septembre 2006 (voir la conclusion du commissaire à la page suivante), le Ministère affirme : « Nous comprenons votre inquiétude quant à l’abolition du financement du PDO, survenue en septembre 2006. Soyez cependant assuré que le MAECI poursuit ses activités dans ce domaine. Les missions canadiennes à l’étranger oeuvrent toujours à faire connaître la dualité linguistique du Canada et à favoriser sa compréhension. »
Conclusion du commissaire
Le commissaire constate que les résultats atteints grâce au PDO sont positifs. Par exemple, le Programme a rehaussé la visibilité des communautés de langue officielle en situation minoritaire du Canada et a renseigné davantage les participants des projets sur la diversité culturelle, linguistique et régionale du Canada. Cependant, il a plusieurs réserves :
- Bien que l’évaluation aborde certaines dimensions de la Loi sur les langue officielles, elle ne comporte pas d’« évaluation exhaustive de sa contribution à la dualité linguistique dans les relations internationales du Canada », comme nous le recommandions en 2004.
- En outre, depuis 2004, le gouvernement a fait d’importantes compressions au budget du PDO. La plus récente compression a été effectuée lors d’un examen des dépenses de 2006 mené par le Secrétariat du Conseil du Trésor3. Les fonctionnaires interviewés lors de la préparation du suivi d’étude ont affirmé que l’effet négatif de ces compressions sera compensé par des programmes existants et des activités courantes du Ministère, par exemple, les programmes d’études canadiennes à l’étranger, Édu-Canada qui s’occupe du marketing de l’éducation, les programmes d’échanges internationaux visant la jeunesse, les subventions offertes par PROMART, la participation continue du Canada à la Francophonie, les programmes permanents des missions entourant les Journées de la Francophonie, et la prestation de services dans les deux langues officielles par le volet commercial du Ministère. Néanmoins, le commissaire demeure préoccupé par l’affaiblissement de cet important moyen d’action que constitue le PDO.
Même si, dans ses commentaires sur l’ébauche du suivi d’étude, le MAECI déclare que les missions oevrent toujours à la promotion de la dualité linguistique, le commissaire réitère son inquiétude quant aux compressions budgétaires effectuées dans le PDO, étant donné le rôle clé qu’a joué ce programme dans la promotion de la dualité linguistique canadienne à l’étranger.
Suivi de la recommandation 1 Partiellement mise en œuvre
2.2 Les programmes d’études canadiennes
2.2.1 Les critères de sélection
Étude de 2004
- Le MAECI a créé une série de programmes pour appuyer des associations nationales et multinationales d’études canadiennes et des centres d’études canadiennes dans le monde. Les programmes financent des centaines de projets de recherche ayant trait au Canada.
- Le principe de la liberté universitaire empêche le Ministère d’intégrer la dualité linguistique aux critères de sélection des projets. L’ajout de la question de la dualité linguistique à la liste des sujets d’intérêt dans les formulaires de financement pourrait s’avérer utile.
État du suivi
Recommandation 2 (étude de 2004)
Que, tout en respectant intégralement le principe de la liberté universitaire, le ministère des Affaires étrangères ajoute, à temps pour les demandes de 2004, la dualité linguistique parmi les sujets d’intérêt inclus dans les formulaires de demande du Programme de bourses de recherche en études canadiennes.
Mesures prises par le Ministère depuis 2004
Le MAECI nous a informés qu’il avait modifié son formulaire de demande et ses sites Web en vue de se conformer à cette recommandation. En 2004-2005, le Ministère a reçu neuf demandes d’appui touchant le domaine de la dualité linguistique et les a acceptées. L’année suivante, il a reçu huit projets et les a tous approuvés.
Conclusion du commissaire
Le commissaire note que le Ministère a donné suite à la recommandation. Le fait que le Ministère ait ajouté dans son formulaire de demande et ses sites Internet la dualité linguistique parmi les sujets d’intérêt a donné des résultats positifs.
Suivi de la recommandation 2 Mise en œuvre
2.2.2 La Banque des missions
Étude de 2004
- L’un des programmes d’études canadiennes, la Banque des missions, facilite les échanges (c’est-à-dire les « missions ») entre le Canada et les pays qui ont signé avec lui un accord bilatéral. La France fait partie des pays qui participent au programme.
- Le Québec est exclu du programme en raison de l’existence d’un programme d’échanges entre le gouvernement du Québec et le gouvernement français.
- Cette situation va à l’encontre du principe de la responsabilité du gouvernement fédéral de représenter tout le Canada dans les relations internationales.
État du suivi
Recommandation 3 (étude de 2004)
Que le ministère des Affaires étrangères prenne des mesures, d’ici le 31 décembre 2005, pour que tous les programmes internationaux d’études canadiennes s’appliquent à toutes les régions du Canada et à ses collectivités francophones et anglophones.
Mesures prises par le Ministère depuis 2004
Dans l’étude de 2004, le Commissariat invitait le Ministère à commenter cette recommandation à l’état d’ébauche. À l’époque, la réponse du gouvernement du Canada avait été que « la France avait exigé l’exclusion du Québec aux réunions de la Commission culturelle mixte et que cette exigence ne visait pas seulement les études canadiennes. Bien que le Canada ait toujours acquiescé à la demande de la France, le gouvernement canadien a confirmé que cette position sera examinée à la prochaine réunion qui se tiendra en 2005. »
En ce qui a trait au présent suivi d’étude, le MAECI réitère la position de la France et affirme qu’il n’y a pas eu de réunion où la question soulevée par le Commissariat aurait pu être abordée.
Le Ministère affirme ce qui suit : « Nous n’avons pas accompli de progrès par rapport à cette question et n’avons lancé aucun projet avec la France depuis avril 2006. Toutefois, le MAECI élabore actuellement une nouvelle approche pour soutenir les activités de conférenciers universitaires à l’étranger et donnera des lignes directrices en matière de promotion de la dualité linguistique canadienne. Étant donné la situation, le programme de la Banque des missions avec la France est remis en question. »
Conclusion du commissaire
Le commissaire constate qu’aucun progrès n’a été accompli par rapport à cette recommandation. Il aurait souhaité que le Ministère trouve le moyen de discuter de cette question avec les représentants du gouvernement français.
Le commissaire demeure convaincu de l’importance que toutes les régions du pays et les collectivités anglophones et francophones canadiennes puissent participer au programme de la Banque des missions.
Suivi de la recommandation 3 Non mise en œuvre
2.3 La Diversité culturelle
2.3.1 L’Union latine
État du suivi
Recommandation 4 (étude de 2004)
Que le ministère des Affaires étrangères, en partenariat avec Patrimoine canadien, prenne, d’ici le 31 mars 2005, les mesures nécessaires pour que le gouvernement canadien soumette une demande d’adhésion à l’Union latine.
Mesures prises par les ministères depuis 2004
Le MAECI affirme que le Canada ne prévoit pas se joindre à l’Union latine. Dans sa réponse à l’ébauche du suivi d’étude, le Ministère affirme que l’Organisation des États américains (OEA), dont le Canada est membre, est la meilleure tribune pour faire la promotion de la diversité culturelle. Le Ministère donne plusieurs exemples de son travail à cet égard.
Conclusion du commissaire
Le commissaire accepte le point de vue de MAECI quant à l’adhésion du Canada à l’Union latine. Il souscrit à la décision du Ministère de mettre l’accent sur la promotion de la diversité culturelle au moyen de son appartenance à l’Organisation des États américains. Le commissaire rappelle l’importance de souligner l’apport essentiel de la dualité linguistique à la diversité culturelle lorsque le Canada participe à diverses organisations internationales.
Le commissaire encourage aussi le ministère du Patrimoine canadien et le MAECI à poursuivre ses activités avec les pays membres de l’Union latine en continuant à faire appel aux moyens utilisés jusqu’à présent.
Suivi de la recommandation 4 Non mise en œuvre
2.3.2 L’importance de la dualité linguistique
Étude de 2004
- Le fait que la dualité linguistique fasse partie de la diversité culturelle semble bien compris par les fonctionnaires de l’administration centrale de Patrimoine canadien et du MAECI.
- Par contre, nous avons rencontré, dans les missions diplomatiques canadiennes, certains fonctionnaires canadiens qui ont laissé entendre que notre dualité linguistique intéressait peu le pays hôte. Ils affirmaient en revanche que l’expérience du Canada en matière de diversité culturelle suscitait beaucoup d’intérêt.
- Notre dualité linguistique est le fruit d’une gestion réussie des différences sociétales, et il est important de promouvoir la compréhension de cette facette essentielle de l’identité canadienne.
État du suivi
Recommandation 5 (étude de 2004)
Que le ministère des Affaires étrangères, de concert avec Patrimoine canadien, élabore, d’ici le 31 décembre 2004, des stratégies de communications internes pour mieux faire comprendre l’importance de la dualité linguistique au regard de la diversité culturelle et des initiatives connexes du gouvernement.
Mesures prises par les ministères depuis 2004
Dans sa réaction à cette recommandation, le MAECI affirme qu’il a travaillé de concert avec le ministère du Patrimoine canadien à mettre en commun leurs efforts afin d’améliorer la compréhension de la pertinence de la dualité linguistique.
Il affirme avoir instauré dans chacune des missions plusieurs stratégies de communications internes visant à renforcer la compréhension de l’importance de la dualité linguistique au regard de la diversité culturelle et les initiatives lancées par le gouvernement canadien en la matière.
Le MAECI ajoute qu’il a demandé à son inspecteur général d’évaluer les résultats de ces efforts dans le cadre du processus de vérification. Parmi les initiatives en question, il mentionne le Programme de diplomatie ouverte, les festivals francophones tenus dans toutes les missions ainsi que l’octroi de bourses à des musiciens et des artistes francophones. Plus récemment, selon le Ministère, un festival du film francophone a été organisé à Saint-Domingue, en République dominicaine. Enfin, le MAECI ajoute que, depuis longtemps, un programme de promotion de la littérature francophone et des deux peuples fondateurs du Canada est mis en œuvre à Paris, en France.
De son côté, le ministère du Patrimoine canadien affirme qu’il poursuit les séances d’information et de formation auprès des chefs de mission et des attachés culturels de l’Institut canadien du service extérieur et du MAECI. Ces séances servent à donner un aperçu général des enjeux et défis en matière de politique culturelle ainsi que de l’engagement nécessaire sur la scène internationale pour contribuer au renforcement du secteur culturel canadien et pour affirmer les valeurs et le pluralisme de la société canadienne dans le monde, y compris la dualité linguistique.
Conclusion du commissaire
Le commissaire reconnaît que le MAECI et Patrimoine canadien ont mené des activités ponctuelles de communications et d’information. Il constate néanmoins que ces activités ne s’insèrent pas dans un cadre stratégique qui comprendrait, par exemple, des objectifs, des résultats souhaités et des indicateurs de résultats.
En 2004, en réponse à cette recommandation, le MAECI a déclaré qu’il élaborerait une stratégie pour se conformer à cette recommandation, ce qu’il n’a pas fait.
Le commissaire souligne que la recommandation visait l’élaboration de stratégies de communications internes dans le but de sensibiliser le personnel du Ministère à l’importance de la dualité linguistique. Bien que les mesures prises ont donné lieu à diverses initiatives de promotion externes, le Ministère ne confirme pas qu’il a élaboré un cadre stratégique concernant la sensibilisation de son propre personnel.
Le commissaire estime donc que le MAECI, à qui la recommandation s’adressait au premier chef, n’a pas donné entièrement suite à sa recommandation qui prônait une approche plus structurée en matière de communications.
Suivi de la recommandation 5 Partiellement mise en œuvre
Nouvelle échéance 1 Septembre 2008, pour que le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international mette en œuvre la recommandation de 2004, c’est-à-dire qu’il élabore, de concert avec le ministère du Patrimoine canadien, des stratégies de communications internes pour mieux faire comprendre l’importance de la dualité linguistique à ses employés canadiens dans les missions et à ses employés recrutés sur place au regard de la diversité culturelle et des initiatives connexes du gouvernement. |
2.4 Le Fonds de promotion de la Francophonie
Étude de 2004
- Le Fonds de promotion de la Francophonie contribue principalement à la mise en valeur de la dualité linguistique du Canada en appuyant les intérêts francophones et en accordant une certaine importance à la création de liens dans la communauté francophone du Canada.
- Bien que les critères d’admissibilité prévoient également la sensibilisation de la population canadienne à la Francophonie, ils ne précisent pas que cela englobe les deux collectivités linguistiques, anglophone et francophone.
État du suivi
Recommandation 6 (étude de 2004)
Que le ministère des Affaires étrangères réévalue, d’ici le 31 décembre 2004, les critères d’admissibilité du Fonds de promotion de la Francophonie pour y inclure les projets destinés à accroître les liens et la sensibilisation au sein de la population anglophone du Canada.
Mesures prises par le Ministère depuis 2004
Le MAECI affirme que le Fonds de promotion de la Francophonie a été dissous en mars 2005. Le Programme de diplomatie ouverte a reçu la responsabilité de promouvoir la participation des associations et des experts canadiens aux activités des institutions francophones internationales.
Le Ministère affirme que, compte tenu de sa situation financière actuelle, il ne peut envisager de rétablir le Fonds de promotion de la Francophonie et qu’il compte examiner les répercussions de cette décision.
Conclusion du commissaire
Le commissaire est préoccupé par la suppression du Fonds de promotion de la Francophonie, d’autant plus que le PDO, qui devait prendre la relève, a été l’objet d’importantes compressions budgétaires effectuées lors de l’examen des dépenses du gouvernement du Canada en 2006.
Le commissaire est d’avis que le Fonds de promotion de la Francophonie constituait un important moyen par lequel le MAECI s’acquittait de ses responsabilités à l’égard de la promotion de la Francophonie et de la dualité linguistique dans ses relations internationales.
Le commissaire partage l’avis que les répercussions de la suppression du Fonds de promotion de la Francophonie effectuée en 2005 devraient faire l’objet d’une évaluation du Ministère.
Suivi de la recommandation 6 Non mise en œuvre
Nouvelle recommandation 1 |
Notes
3 Ces compressions budgétaires ont fait l’objet d’une enquête distincte du Commissariat portant sur l’examen des dépenses mené par le gouvernement du Canada en 2006.