ARCHIVÉE - Conclusion

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Notre étude a permis de cerner certains des problèmes et enjeux que le nouveau contexte de gouvernance pose au plan de l’épanouissement et du développement des minorités de langue officielle. Notre analyse des ententes Canada-communautés a révélé, entre autres, que l’absence de mécanismes collectifs d’imputabilité, d'un partage de responsabilités clairement énoncées, de règles du jeu ou de critères bien définis et d’une compréhension renouvelée du développement des minorités font de la gouvernance un pari risqué pour ces minorités.

À ce jour, l’examen de la nouvelle gouvernance dans le domaine de l’épanouissement et du développement n’a pas permis de voir si elle constitue un véritable moyen de susciter davantage la cohésion et la mobilisation des acteurs au sein des milieux minoritaires. Pour plusieurs, pour que cela se réalise, le gouvernement fédéral devra adopter une attitude différente à l’égard des minorités de langue officielle.

Des études plus poussées de la question de la gouvernance des minorités de langue officielle seront utiles afin de bien en explorer toutes les dimensions et tous les enjeux. Nous espérons, pour terminer, avoir réussi à poser les jalons d’une approche qui rendra davantage possible un approfondissement de la question.



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